
Il s’agit d’une série de pièces de 2 euros commémoratives commémorant le 10ème anniversaire de l’émission des pièces et des billets en euro dans les pays de la zone euro.
Le dessin commun à tous les pays symbolise la place de l’euro dans la vie quotidienne et montre que cette devise est importante dans le monde. Il est représenté les différents secteurs dans lesquels l’euro est un acteur primordial: l’homme et la société (famille de quatre personnes et habitations représentées sur la droite de la pièce), le commerce représenté par un bateau en bas de la pièce, l’industrie représentée par une usine située en haut à gauche, l’énergie représentée par deux éoliennes situées à gauche de la pièce. En bas à gauche de la pièce est stylisé également le bâtiment de la Banque Centrale Européenne.
Le nom du pays émetteur est inscrit en arc de cercle sur la partie haute de la pièce.
Les millésimes (2002: année de l’émission de l’euro et 2012: année d’émission de la série commune) sont inscrits également en arc de cercle sur la partie basse de la pièce.
Les douze étoiles du drapeau européen sont gravées de manière régulière sur l’intégralité de l’anneau extérieur de la pièce.
Le dessin de la pièce a été crée par l’autrichien Helmut Andexlinger, graphiste à la Monnaie autrichienne
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La principauté de Monaco et le micro-état du Vatican n’ont pas émis cette pièce car ces derniers ne font pas membre de l’Union Européenne.
Bien que le micro-état Saint-Marin ne fasse pas partie de l’Union Européenne, ce dernier malgré tout émis la pièce mais n’a pas été comptabilisée dans l’émission commune.
Une loi au Luxembourg impose la présence du portrait du Grand-Duc sur les pièces émises dans ce pays, le portrait de ce dernier a été frappée en filigrane sur la partie centrale de la pièce.
La même loi existe aux Pays-Bas mais est abrogée lors des émissions communes.
Voici le détail des émissions
Comme mentionné précédemment, le micro-état de Saint-Marin a voulu également émettre la pièce mais cette dernière n’est pas comptabilisée dans la série commune, Saint-Marin ne faisant pas partie de l’Union Européenne. La pièce est donc considérée comme une pièce commémorative émise par Saint-Marin en 2007, ni plus, ni moins.
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